Archives du blog
Clé attraction collector Disneyland Paris
Un petit article sur ces superbes objets de collection, puisque j’observe depuis un certains temps le manège des ventes, et étant moi même collectionneur j’ai finis par me poser la question :
Un objet dit « exclusif » de « collection », « rare » à t’il une valeur ?

Je vois déjà les aller retour et les débats sur « l’offre et la demande », mais finalement, les gens sont ils prêt à payer pour obtenir ce qu’ils veulent ? Même si la réponse est sûrement oui, je pense malgré tous que dans le cas des clés de Disneyland Paris, il y a une limite.
C’est donc sur cette base, que je me suis dit que j’allais vous faire part de mes observations et ainsi vous permettre d’acquérir ces objets au meilleur prix sans avoir la sensation d’être pris pour un pigeon. Ou si vous êtes vendeurs, de vendre vos clés au prix le plus juste en ne croyant pas que vous êtes assis sur une pactole !

Je me suis donc « amusé » sur la base de mes observations à faire un genre de cotation des clés. J’ai pris comme lieu d’observation le marché de l’occasion et plus précisément « le bon coin », « vinted » et « eBay ». Globalement les prix proposés sont quasiment les mêmes. Les prix de vente sont très semblables !
Il existe aujourd’hui 13 clés sur le marché.

Voici la « valeur » constaté de ces clés. Attention, cette cotation est basée sur une observation et n’a pas de valeur officielle :
– Alice aux pays des Merveilles = 70 à 80€
– Big Thunder Moutain = 80 €
– Hollywood Tower Hôtel = 140€ (pendant un moment, cette clé se vendait 300€, actuellement les clés entre 275 et 370€ ne se vendent pas)
– Melanie = 160€ (il existe ici et là des clés en vente a 250€, mais elles sont en ligne depuis plusieurs mois sans se vendre)
– Mouse Party = 50 à 60€ (Il en reste énormément en ligne entre 120 et 140€ qui ne se vendent pas)
– Mouse Party version Cast Members = 120€
– Le Nautilus = 50 à 60€
– Pirates of the Caribbean = 120 à 140€
– Phantom = 80€
– Ratatouille = 60 à 80€
– Space Moutain = 50€
– Star Tours = 80€
– TimeKeeper = 40€ (je pense que cette clé souffre d’un manque de référence des collectionneurs qui n’y accorde pas l’importance qu’elle mérite)
Si l’envie de compléter votre collection vous branche, ne perdez jamais de vue que les clés valent à l’origine 25€ à Disneyland Paris le jour de leurs sorties ! Et surtout (voir mon article précédent) que des petits malins arrivent à acheter un quota de clé pour exclusivement faire du business (parfois même avant leurs sorties officielles)
Le business des « pseudos » fan de #DisneylandParis
Un petit article en forme de coup de gueule, parce que ça fait un moment que je suis observateur, mais là… trop c’est trop.
Disneyland Paris sort régulièrement en boutique des objets collector en édition limitée, chose qui sur le papier est très bien en soit… sauf que !

Sauf que c’était sans compter sur les petits malins qui achètent ces objets collector pour les remettre (parfois même avant leurs sortis) sur des sites en vente comme « le bon coin » ou vinted et tenter au passage de se faire de l’argent de poche.
Ici le sujet concerne les clés liées aux attractions… quasi impossible à obtenir pour le commun des mortels. Le problème ? Le côté exclusif du produit (comme la clé Gusteau limitée à 2014 exemplaires)
Le principe, Disneyland annonce la sortie de la clé quelques semaines en avance (histoire que les filous est le temps de s’organiser…), et met en vente la dite clé en boutique.

Disneyland Paris a bien tenté de diminuer le phénomène en limitant les achats a une par personne… mais rien n’y fait.
Lorsque une clé sort, elle se retrouve immédiatement sur les sites d’occasions (parfois la veille) a des prix qui se passent de commentaires. Pour info, une clé coûte 25,99€ le jour de sa sortie… et se retrouve de 50 à 1000€ sur les sites de vente. Pour preuves ces quelques exemples :



En bref… il est dommage que des gens se prétendant « fan » profite de se système pour abuser et revendre ces objets à prix d’or, pénalisant ainsi au passage les vrais passionnés dont je fais parti, qui ne peuvent pas s’offrir ces objets à des prix « normal »